La question se justifie puisque l’on ne peut pas être archéologue sur le terrain pendant toute sa vie : si ce métier a ses joies, il a aussi ses contraintes. Les personnels de l’INRAP, contractuels à statut particulier, devraient pouvoir bénéficier d’une mobilité, afin de poursuivre leur carrière en capitalisant sur l’expertise qu’ils ont acquise sur le terrain. Je voulais vous confirmer que le ministère travaille actuellement sur ce sujet et qu’il vient de recevoir – je n’en ai pas encore pris connaissance, mais cela ne saurait tarder – un rapport qu’il avait commandé à propos de la possibilité de favoriser cette mobilité des personnels, notamment en direction des collectivités territoriales.