Lorsque cette opération sera terminée, ce qui n'est pas près de se produire, il faudra bien se poser la question des moyens consacrés à notre défense. Sous ce gouvernement comme sous le précédent, je me félicite d'avoir été un des rares à demander que l'on n'applique pas la décision de supprimer nos forces prépositionnées à N'Djamena.
Par ailleurs, je m'indigne, comme M. Lellouche, des prises de position tunisiennes, non seulement de la part d'Ennahdha, mais aussi du président par intérim. Après le tapis rouge qui a été déroulé à Paris devant lui, ce dernier aurait pu soutenir la France dans cette opération.