Cela étant, ce n’est pas mieux ailleurs : beaucoup me disent : « Mais pourquoi voulez-vous qu’on aille voter, monsieur le député ? Ce ne sont pas nos affaires, cela ne nous concerne pas. C’est un monde de vieux. Vous êtes finis. Ce n’est plus notre monde. » Cela fait très mal à entendre et plus encore de le dire ici. Il faut engager un travail en profondeur, monsieur le secrétaire d’État, et nous devons le faire tous ensemble tant qu’il est encore temps. Les échéances qui se profilent à l’horizon nous en donnerons l’occasion, mais il faut faire vite. Il est moins une.