Il n’est pas question, bien entendu, de jeter l’opprobre sur l’ensemble des maires, mais il ne faut pas non plus fermer les yeux sur l’existence et la persistance de certaines pratiques et de certaines pressions. Imaginons que la personne radiée soit en déplacement. Si elle ne dispose que de sept jours pour réagir, la cause est perdue ! Et c’est celui qui l’aura radié peut-être à tort qui aura raison à l’arrivée.