Même s’il n’est pas prévu de consultation obligatoire de l’Association des Français de l’étranger – AFE –, que je connais bien, je suis certain que, dans le cadre notamment de la navette, s’exprimera le souci de l’écouter et d’avoir une discussion. Cependant, même si je suis, comme vous, très attaché au gouvernement ouvert et à la démocratie ouverte, le dernier mot restera malgré tout aux parlementaires et vous ne pouvez, me semble-t-il, que vous en réjouir.