La suspension de séance, qui devait être de cinq minutes, en a duré vingt. Nous avons paisiblement patienté mais elle n’a manifestement servi à rien puisque les positions des uns et des autres, au sein de la majorité, n’ont pas pu être harmonisées.
Comme les choses semblent plus que confuses, nous maintenons évidemment nos amendements de suppression de l’article.
Nous considérons que l’eau est un produit de première nécessité, que près de 95 % des Français achètent de l’eau en bouteille et qu’il est hors de question – même si certains d’entre vous vont maintenant dans ce sens-là – de taxer encore les eaux embouteillées.
Nous sommes bien entendu favorables à la suppression de cet article, donc à l’amendement du Gouvernement.