Cela se voit jusqu’au coeur de nos négociations des contrats de ville : de nombreuses collectivités financent des structures qui ne participent qu’à la persécution de la majorité par des minorités qui ont pour elles des dizaines d’années de culpabilisation du peuple français.
L’exposé des motifs de cette proposition de loi précise que « S’agissant de la première catégorie de véhicule (soumis à réception), la loi s’attache surtout à lutter contre le débridage des deux-roues et la revente de véhicules débridés entre particuliers. Elle s’applique donc notamment aux mini-motos et quads conçus pour la route. » Dès lors, peut-être certains d’entre vous vont-ils hurler, mais c’est bien la voyoucratie inattaquable que la majorité des Français verra désignée dans les personnes qui se comportent de la sorte.
Un mot sur les polices municipales, qui sont les premières à agir face à de telles nuisances. Pourquoi l’État refuse-t-il encore de renforcer leurs prérogatives hors de l’état d’urgence ? Il faut le dire tout net : un individu qui aura rencontré l’ordre une fois dans sa vie est un individu qui aura une chance de ne pas radicaliser sa délinquance. Voilà : c’est de ce sujet que nous parlons en réalité, pas d’autre chose. Je voterai bien volontiers ce texte.