Ces propos ne correspondent pas à la réalité, à moins qu’ils ne traduisent un début d’autocritique de la conduite qui a été la vôtre une législature durant.
Cela étant dit, je suis moi-même assez préoccupé. J’ai eu l’occasion, tout comme les orateurs de la majorité, de rappeler la politique du Gouvernement et son opposition. Nous pouvons avoir des opinions divergentes sur l’opportunité et sur le contenu de ces propositions de loi. Mais à quoi avons-nous assisté cet après-midi ? Alors que le sujet, comme vous n’avez cessé de le rappeler, est censé, au-delà des divergences sur les textes, nous rassembler sur une position commune, une position éthique, morale, par rapport à la GPA, au fur et à mesure que le débat avançait, la radicalisation de vos propos, l’exagération, l’interpellation, l’inquisition sur ce que nous pensons en réalité…