Cet amendement tend à maintenir le principe historique « l’eau douce paie l’eau douce , en application du principe pollueur-payeur. En effet, dès lors que l’article inscrit le principe de l’extension du champ d’intervention des agences de l’eau au milieu marin et à la biodiversité terrestre ou marine, les aides financières octroyées par les agences de l’eau pourraient porter sur des actions et travaux relevant du milieu marin et de la biodiversité terrestre ou marine, ce qui conduirait à réduire les aides financières dévolues à l’eau douce. Mon collègue Guillaume Chevrollier complétera ce propos.