Vous ne m’avez pas convaincu, madame la secrétaire d’État. Vous nous dites qu’il n’est pas question de revenir en arrière, mais pour toutes les utilisations postérieures à la loi, on va mettre sur un pied d’égalité une multinationale du secteur pharmaceutique et mon fromager du Haut-Jura. Le texte n’est donc pas abouti : il faudrait introduire une différence de traitement entre les deux types d’exploitants. Pourquoi ne donneriez-vous pas un avis favorable à ces amendements, pour pouvoir rebâtir avec le Sénat un texte qui convienne à tout le monde ?