Tout à l’heure, nous étions quelques-uns, de part et d’autre de cet hémicycle, à souligner les limites juridiques de cet amendement. En effet, s’il y a bien une chose avec laquelle on ne peut pas transiger, c’est la sécurité et la protection des mineurs. Nous devons être extrêmement attentifs au respect de cet impératif, que le dispositif proposé ne permet pas d’assurer.
Une deuxième chose m’étonne. Vous avez raison, monsieur Féron : aujourd’hui, le statut de salarié dans le secteur de l’animation est extrêmement rigide. Vous proposez donc de mettre en place un volontariat. Assouplissez plutôt le statut de salarié – vous verrez, cela fonctionnera bien mieux ! Mais c’est sans doute, cette fois-ci, un point de divergence entre les deux côtés de cet hémicycle.