J’associerai à mes propos Régis Juanico, qui a beaucoup travaillé sur ce dossier. Je suis heureux que nous nous accordions tous sur le constat, qui est bien réel. Nous avons aujourd’hui deux types de centres de vacances : ceux qui accueillent des enfants en toute illégalité, qui trichent, parce qu’ils n’ont pas reçu l’agrément et les autres, inaccessibles aux plus pauvres en raison de leurs tarifs exorbitants.
Bien évidemment, je n’ai aucune envie de détourner le droit du travail et encore moins de remettre en cause la sécurité dans les centres de vacances. Pour avoir fait tous les métiers dans les centres de vacances, homme d’entretien, éducateur spécialisé ou encore directeur, je connais bien ce sujet.
En tout cas, la proposition de M. le ministre me satisfait pleinement. Nous sommes d’accord sur le diagnostic et nous avons la volonté de travailler ensemble pour trouver une solution efficace d’ici le retour de ce texte à l’Assemblée. Dans ces conditions, je retire mon amendement.