Merci de me donner la parole, monsieur le président. Après l’amendement précédent, qui tendait tout de même à rien de moins que ficher les candidats aux concours de la fonction publique en modifiant une loi de 1983 – vous ne m’avez pas répondu sur ce point, madame la secrétaire d’État – je salue cette disposition qui vise à ce que la fonction publique de demain soit à l’image de notre pays. J’y suis pleinement favorable.
En attendant, mes chers collègues, je vous invite à relire précisément le dernier alinéa de l’amendement no 1593 que vous venez de voter, en réfléchissant aux conséquences qu’il aura pour les fonctionnaires.