Les amendements de Jacques Myard pour ce dossier
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Ce rappel se fonde sur l’article 58 alinéa 1 du règlement. L’hémicycle est vide : la politique étrangère de la France n’intéresse visiblement pas nos collègues. Nous en sommes coupables : il est parfaitement inadmissible, monsieur le secrétaire d’État, que l’on évacue la politique étrangère de la France en organisant ainsi nos débats : nous dev...
– mais il est clair que nous ne pouvons pas nous permettre de continuer ainsi. Je vous demande, madame la présidente, de rappeler en Conférence des présidents qu’une telle organisation des débats est parfaitement contraire à l’intérêt de la France et marque un affaiblissement de notre politique étrangère vis-à-vis de l’ensemble des nations. Év...
Monsieur le secrétaire d’État, la question posée à l’instant par M. Baumel est pertinente, car la politique immobilière du ministère n’est pas claire. Vous avez une vision limitée, même comptable, de cette politique. On veut faire une bonne affaire à New York, mais c’est plus difficile que prévu car on se heurte au droit de la copropriété. À Tu...
Oui car il s’agit d’un coup de semonce. En effet, le coût de cette conférence, qui s’élève à 100 millions d’euros, est très important, et ceci, monsieur le ministre, soulève des questions. Afin de protéger l’environnement, on pourrait commencer par ne pas faire circuler dans Paris une multitude de voitures officielles ! Par ailleurs, la somme d...
Enfin, au regard des articles 53, 54 et 55 de la Constitution, je m’étonne grandement que vous affirmiez qu’il s’agit d’un engagement de la France : je vous rappelle qu’un engagement international de la France, quelle que soit sa forme, doit être approuvé par le Parlement dès lors que les finances de l’État sont en cause. Cela n’a pas été le ca...
Je le maintiens, ne serait-ce que pour le soumettre au vote. Nous sommes là pour voter, ne l’oublions pas ! Monsieur le secrétaire d’État, j’entends bien vos arguments, comme ceux du rapporteur. Mais il y a des choix stratégiques à faire. Le climat en est un, personne ne dira le contraire. Toutefois, je dois dire que pour une conférence intern...
Aujourd’hui, abonder l’AEFE est un investissement d’avenir, un investissement de stratégie d’influence de la France à l’étranger car combien de fois ai-je rencontré, soit aux Amériques, soit même en Afrique, des gens formés dans nos établissements ? Croyez-moi, ce sont des relais d’influence dont nous ne pouvons pas nous passer, sauf à « plier ...
Nos forces sont engagées sur de nombreux théâtres d’opérations et je tiens à saluer un professionnalisme qui, parfois, mène certains soldats au sacrifice suprême.
Il n’en reste pas moins que notre hémicycle, monsieur le président, est vide ! Il est vide ! Comment se fait-il, alors que la situation devient tragique, que nos collègues ne soient pas ici tous présents ?
Ce n’est pas tout à fait acceptable. Nos chers collègues absents se désintéressent-ils de la défense ? Je ne le crois pas, non. En revanche, il est clair que la méthode retenue pour nos débats – commission élargie et pas de discussion en séance publique – n’est pas à la hauteur des enjeux.
Je tiens à émettre une vive protestation. La défense est un thème régalien par excellence : il y va de l’avenir de tous et de la garantie de notre indépendance. En conséquence, au-delà de la baisse des crédits que chacun, ici, regrette, notre façon de débattre s’est dégradée et ce n’est pas acceptable. Je tenais à le rappeler à tous !
Ils s’appuient sur l’idée qu’un monde non nucléarisé est un monde plus sûr. Mon cher collègue, l’atome rend sage. Si vous ne disposez plus de la force de dissuasion, la France sera en position d’infériorité. C’est extrêmement dangereux parce que la dissuasion nucléaire permet de rétablir un certain équilibre entre des États qui ont une capacité...
La question du logement est en effet cruciale, mais si on l’aborde sur le plan idéologique, comme l’a fait la loi Duflot, on arrive à des catastrophes. Cet article, sous réserve de ce que vient de dire Marc Le Fur c’est-à-dire que les avantages soient élargis à l’ensemble du territoire national, va certainement dans le bon sens. Je voudrais ce...
Construire 70 000 logements par an en région Ile-de-France, obliger à avoir 30 % voire 40 % de logements sociaux dans des régions où il n’y a pas de foncier, c’est reporter des coûts prohibitifs sur l’ensemble de la collectivité nationale.
Ce n’est pas résoudre le problème. En région parisienne, on ne pourra pas transporter quatre à cinq millions de personnes supplémentaires d’ici à vingt ans. Si vous voulez casser la région parisienne, si vous voulez ne pas résoudre le problème du logement, continuez à suivre cette idéologie sectaire et on aura tout réussi !