Les amendements de Nicolas Dhuicq pour ce dossier

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Monsieur le garde des sceaux, comme hier soir, je m’interroge. Je constate toutefois que les institutions sont solides. Nous avons toujours un Président de la République, une Constitution et un Gouvernement qui essaie de gouverner quelque peu, voire d’avoir une majorité. Votre loi ne s’adresse à personne. Elle ne s’adresse pas aux terroristes ...

Je ne laisse pas d’être étonné de cette volonté de produire en permanence des lois bavardes. J’ai le sentiment que soit notre honorable collègue est dans le biblique absolu, soit elle pense à Hugues de Molay au bûcher. Le Gouvernement a parfaitement répondu sur le sujet : la déchéance ne concerne que la personne incriminée. À force de vouloir ...

Pour faire écho à l’intervention de M. Lellouche et en réponse aux propos que vient de tenir l’orateur du groupe socialiste, je rappelle qu’un millier au moins de personnes de nationalité française sont aujourd’hui concernées. La question n’est donc pas anodine, car il ne s’agit pas d’une dizaine de personnes, mais de plusieurs centaines, sans ...

Pour aller dans le sens de l’excellent Jean-Frédéric Poisson, au moment où nous nous exprimons, le petit-fils du fondateur des frères musulmans, redoutable bretteur qui pratique la taqiya, demande par provocation la nationalité française. Au moment où nous parlons, le peuple syrien est en guerre civile depuis plus de cinq ans. Au moment où nou...

Je crois que nos collègues confondent la disparition d’un mot et celle d’un mal. Tout le monde ici condamne le racisme, lequel survient lorsque l’on tient des discours généraux appliqués à une communauté ou à un sexe par exemple, bref à une partie de l’humanité comme si elle était séparée du reste. La couleur de peau, quant à elle, n’a absolu...

Pour appuyer l’amendement de notre excellent et honorable collègue Poisson, je voudrais rappeler quelques faits. La Grande-Bretagne impose ses conditions à l’Union européenne, on lui cède. La France paie le prix du sang et demande que l’on extraie des critères de Maastricht son effort de défense, on ne lui cède pas. Quelle est cette République ...

Plus nous avançons, plus je m’interroge sur ce projet de loi et en particulier sur l’article 2. À qui s’adresse-t-il ? Certainement pas aux terroristes, qui sont dans un autre univers que le nôtre, ont lié un contact avec une divinité censée être toute-puissante et côtoient sans discontinuer la mort à travers laquelle ils cherchent à atteindre...

Nous avons la liberté absolue d’employer les termes que nous voulons quand nous le voulons ; c’est notre liberté de législateurs.