Déposé le 2 octobre 2015 par : M. Bompard.
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Les souffrances ou la perte partielle d'espoir présentes lors des derniers moments de la vie altèrent évidemment la volonté d'un patient. Nombreux sont les témoignages de patients excédés, physiquement ou psychologiquement, qui réclament la fin des traitements à des moments ou ils peuvent encore être sauvés. Considérer l'homme comme une simple volonté de puissance revient encore une fois à refuser la faiblesse et la fragilité.
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