Les amendements de Arnaud Richard pour ce dossier

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Jeter l’opprobre sur des hommes et des femmes de proximité, qui, dans leur ensemble, représentent un million de salariés, les porter au pilori par un projet de loi d’habilitation à légiférer par ordonnances, n’est pas une solution. Certes, tout à coup, vous êtes revenu à la discussion, ce qui est heureux et prouve que vous êtes un homme intell...

Ces hommes et ces femmes, peu habitués à la contestation, sont aujourd’hui dans la rue, et nous pouvons les comprendre. Monsieur le ministre, vos « invariants » – pour reprendre le terme extrêmement lettré que vous avez employé, qui relève, me semble-t-il, du registre mathématique – se déclinent en une intention, une méthode et un calendrier. ...

Monsieur le Premier ministre, notre groupe souhaite vous alerter à nouveau sur les conséquences des décisions prises vis-à-vis de l’un des premiers employeurs de France, je veux parler de nos compatriotes. Depuis maintenant deux ans, vous prenez des décisions catastrophiques et avez ainsi mis en oeuvre l’un des plus grands plans de licenciement...

Le pacte de solidarité a été présenté ce matin en conseil des ministres. Profiterez-vous de cette occasion pour revenir sur les erreurs du passé en commençant par accorder une augmentation significative de la déduction forfaitaire aux particuliers employeurs ?

Monsieur le ministre du travail, de l’emploi et du dialogue social, par leur vote, dimanche, les Français ont crié leur désespoir et leur défiance à l’endroit du Gouvernement et de la majorité. Le pacte de confiance est brisé. Depuis maintenant deux ans, l’UDI ne cesse de vous mettre en garde et de vous demander de revenir sur vos erreurs. Aujo...

avec votre cortège de visions dogmatiques, et vous avez tué ce puissant vecteur de créations d’emplois. Des dizaines de milliers d’emplois ont été détruits – autant de drames humains. La suppression du forfait, la réduction des aides fiscales aux particuliers employeurs et la hausse de la TVA sont autant de décisions que nous avons combattues e...

Ma question est simple, monsieur le ministre, et s’adresse également à M. Sapin : quand le Gouvernement va-t-il enfin prendre des mesures fortes pour le redressement de ce secteur essentiel pour l’emploi dans notre pays ?

Ma question s’adresse à M. le Premier ministre. Depuis le 14 juin 2013, des discussions sont engagées, dans la plus grande opacité, entre l’Union européenne et les États-Unis en vue d’un accord global extrêmement important relatif au commerce, à l’industrie, au secteur bancaire, à l’agriculture, à l’environnement et à l’exception culturelle. Un...

Pour le groupe UDI, qui défend une Europe fédérale véritablement intégrée, il y a quatre lignes rouges à ne pas franchir : l’arbitrage privé entre les États et les multinationales ; la remise en cause de la protection des données personnelles et économiques ; celle de la protection sanitaire et environnementale européenne ; et une dernière, chè...

Je m'étonne que les trois quarts du Gouvernement nous aient quittés, alors que j'ai une question à poser au ministre du redressement productif, sur un sujet qui requiert à mon sens l'unité nationale !

Monsieur le ministre du redressement productif, nous étions ensemble ce matin à l'usine Renault de Flins, où nous avons rencontré Carlos Ghosn, dans le cadre du plan de compétitivité qui permettra de relocaliser la production de 82 000 Nissan Micra à compter de 2016, ce qui n'est pas rien. La méthode qui consiste à mettre tout le monde autour ...

Monsieur le ministre, y a-t-il véritablement, dans ce gouvernement, une vision stratégique de l'avenir de l'industrie automobile ? Certes, vous vous félicitez de ce que fait Renault, mais s'agit-il vraiment de l'action de ce gouvernement ou de celle du précédent ? Que va faire le Gouvernement pour aider au déploiement des bornes électriques ? ...

Monsieur le ministre de l'intérieur, l'attaque du RER D, samedi dernier à Grigny, témoigne du climat d'impunité qui règne désormais dans notre pays. Comment tolérer que des bandes de voyous sèment la terreur dans les transports franciliens ? Au-delà de Marseille qui reste le théâtre d'assassinats toutes les semaines, c'est malheureusement la Fr...

À l'évidence, le Gouvernement est tiraillé entre deux positions opposées et irréconciliables : entre répression et déresponsabilisation.

Monsieur le ministre de l'intérieur, ma question est simple et c'est bien dommage que le Premier ministre ne soit pas là pour y répondre. Le Gouvernement penche-t-il en votre faveur, c'est-à-dire vers la fermeté ou en faveur du garde des sceaux, c'est-à-dire vers le laxisme ? (Applaudissements sur les bancs des groupes UDI et UMP.)

Monsieur le Premier ministre, en vous dissimulant derrière le rapport Auzannet, dont vous êtes le commanditaire, vous tuez une belle ambition collective, celle du Grand Paris au service des Franciliens, une ambition de croissance et d'emploi partagée et élaborée avec les Franciliens, avec l'ensemble des élus, toutes tendances confondues, et ave...

Les réponses qui nous ont été apportées hier n'ont rassuré personne, à l'exception de la cocasse ligne en cul-de-sac entre Massy et Saclay destinée à M. Lamy. Vous vous devez de lever le voile sur les réelles intentions du Gouvernement et de vous prononcer sur le contenu de ce rapport funeste. S'agit-il de suivre la seule ligne du rééquilibrag...

Avec la réponse que vient de nous faire M. le ministre délégué chargé des transports, nous voilà bien rassurés sur le canal Seine-Nord ! Ma question s'adresse à M. le Premier ministre. Décidément, monsieur le Premier ministre, vous êtes extraordinaire. (Mmes et MM. les députés du groupe SRC se lèvent et applaudissent longuement.)

Avec vous et votre gouvernement, on ne s'ennuie pas. (Mmes et MM. les députés du groupe SRC continuent à applaudir.) « Les cafouillages, c'est fini ! » Avouez que, un mois après, cette phrase du Président de la République sonne comme une vaste plaisanterie. (Mêmes mouvements.)

Fut un temps où les couacs à répétition de votre gouvernement, pourtant déjà préoccupants, pouvaient être mis sur le compte de l'inexpérience. Mais aujourd'hui, votre attitude à l'égard des institutions de la République provoque notre profonde indignation. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Dès la rentrée de septembre, vous avez décid...