Les amendements de Axel Poniatowski pour ce dossier
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Il n’est pas là, je vous la pose donc, monsieur le Premier ministre. L’année 2015 restera dans l’histoire de l’industrie française comme celle au cours de laquelle trois géants de l’industrie – Lafarge, Alstom et Alcatel – seront passés sous contrôle étranger. Ce coup de tonnerre est révélateur des faiblesses de notre économie. Est en cause u...
Pourquoi le ministre de l’économie n’est-il pas intervenu fermement, avec son homologue allemand, pour empêcher la cession d’une telle activité qui est, pour la France, stratégique et à forte valeur ajoutée ?
Monsieur le Premier ministre, lundi 16 novembre, devant le Congrès, François Hollande annonçait son intention de former une coalition internationale contre l’État islamique, impliquant ainsi un rapprochement inattendu mais bienvenu avec la Russie. Dans la foulée, Moscou changeait aussi son positionnement, en exigeant de sa marine qu’elle coord...
Je rappelle que ces sanctions ont été prorogées en juin 2015 jusqu’au 31 janvier 2016. Elles apparaissent désormais décalées et, surtout, plus du tout à la mesure d’une approche sereine de nos divergences.
Cette initiative permettrait par ailleurs de lever l’embargo russe sur les produits agricoles et agroalimentaires, dont souffrent les agriculteurs européens et français.
Monsieur le Premier ministre, ma question est la suivante : quelle initiative comptez-vous prendre au sujet de la levée des sanctions économiques à l’égard de la Russie ? De quelle manière allez-vous agir ? La situation actuelle va devenir de plus en plus paradoxale entre alliés.
Monsieur le ministre de la défense, dans quelques jours se tiendra à Bruxelles un Conseil européen consacré à la défense. À l’heure où la France s’engage seule, et pour la deuxième fois en quelques mois, dans une opération militaire en Afrique, ce conseil tombe à point nommé, car, tant sur la forme que sur les conditions d’engagement des troupe...
Monsieur le Premier ministre, laissez-moi tout d'abord vous dire qu'il n'est pas acceptable d'entendre le Premier ministre de la France affirmer que l'opposition parlementaire souhaite l'échec de la France. C'est indécent et indigne de votre fonction. (Vifs applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Après avoir nié, pendant la campagne pré...
Oui, il faut s'attaquer au coût du travail ; oui, il faut un choc de compétitivité. La France doit résolument s'attaquer à la cause profonde de notre faible croissance, à savoir notre manque de compétitivité ; et dire cela, c'est tout simplement faire exactement le contraire de ce que vous faites aujourd'hui. Vous avez déclaré que vous ne voul...