Les amendements de Christian Jacob pour ce dossier
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M. Ayrault a été président d'un groupe parlementaire d'opposition. Nous n'avons pas oublié la manière lamentable avec laquelle il avait à l'époque traité notre collègue Éric Woerth. (« Eh oui ! » sur plusieurs bancs du groupe UMP.) Le groupe UMP, quant à lui, s'est toujours conduit avec une grande dignité à l'égard de M. Cahuzac, parce que nous...
Nous attendons du Gouvernement qu'il assume ses responsabilités, sans mépris ni arrogance ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP et sur plusieurs bancs du groupe UDI. De nombreux députés du groupe UMP se lèvent pour applaudir.)
Monsieur le président, ma question s'adresse à M. le Premier ministre. Inexorablement, le chômage augmente dans notre pays, les usines ferment
La semaine dernière encore, nous avons appris qu'une usine Goodyear 1 200 emplois risquait de fermer à Amiens. L'heure est grave, monsieur le Premier ministre, et vous avez choisi de gouverner par diversion. Mais les Français ne sont pas dupes : ils ne comprennent pas votre obstination à maintenir, dans un tel contexte, l'examen du projet ...
C'est un véritable mépris pour elle, un affront. Je vous prends à témoin, monsieur le président : nous allons débattre sur ce texte sans avoir l'avis du comité national d'éthique. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Ma question est donc simple, monsieur le Premier ministre. Vous avez peur...
parce que vous n'osez pas le consulter par référendum. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Vous n'avez pas non plus le courage d'assumer vos choix, notamment sur la procréation médicalement assistée. Je vous demande donc de reporter l'examen de ce texte tant que nous n'aurons pas reçu l'avis du comité national d'éthique. (Applaudisseme...
Monsieur le Premier ministre, les institutions de la Cinquième République voulue par le Général de Gaulle ont donné au Président de la République la prérogative d'engager les forces françaises à l'étranger. Nous apportons donc notre soutien à la décision du Président de la République. (Applaudissements sur plusieurs bancs des groupes UMP et Ras...
Monsieur le Premier ministre, M. Montebourg nous annonçait mardi dernier : « Nous avons un repreneur crédible qui souhaite investir 400 millions d'euros pour rénover les hauts fourneaux de Florange ». Personne sur ces bancs ne peut imaginer un instant qu'un ministre de la République ait pu mentir à ce point à la représentation nationale ! (Appl...
Pourtant, vous l'avez désavoué et humilié publiquement vendredi dernier en affirmant qu'il n'y a aucun repreneur. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Monsieur le Premier ministre, vous portez la responsabilité d'un double échec. L'échec de Florange tout d'abord, puisque vous avez confirmé que les hauts fourneaux ne pouvaient pas redémarrer dans un avenir prévisible. Et puis celui de la France, monsieur le Premier ministre, avec ce message catastrophique que vous adressez aux investisseurs ét...
Troisièmement, la presse évoque un accord secret qui vous lierait avec M. Mittal sur des investissements qui seraient réalisés sur un site proche de Nantes. Monsieur le Premier ministre, pouvez-vous, oui ou non, démentir immédiatement cette information ? (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Ma question s'adresse à M. le ministre de l'Intérieur. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Tous les gouvernements ont toujours eu une seule obsession : combattre le terrorisme dans le rassemblement et l'unité nationale. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Mais hier, ici même, vous avez tenu, monsieur le ministre, des propo...
Mais votre échec et celui de votre politique ne sauraient justifier toutes les outrances. Chacun à leur place et à leur façon, le Président de la République et le président de l'Assemblée nationale, que je remercie, vous ont désavoué. À présent, monsieur Valls, la décence et la dignité vous imposent de surmonter votre orgueil et de vous excuser...
Monsieur le Premier ministre, ce matin, nous nous sommes réveillés en nous disant que vous aviez changé, que vous n'étiez plus ni dans le dogme, ni dans le sectarisme, puisque vous avez déclaré que le retour aux 39 heures n'était plus « un tabou ». Enfin une bonne nouvelle ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP et sur plusieurs bancs d...
Monsieur le Premier ministre, ce qui nous inquiète et ce qui inquiète les Français, c'est votre inconséquence. Comment être crédible, cet après-midi, devant votre majorité, après avoir dit, ce matin, que votre position n'était pas celle du Gouvernement ? Un chef de gouvernement qui dit que sa position n'est pas celle du Gouvernement, c'est une ...
Aujourd'hui, il est une chose dont les Français sont sûrs, c'est qu'il n'y a plus de pilote dans l'avion. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP et sur plusieurs bancs du groupe UDI Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Monsieur le Premier ministre, cinq mois après votre nomination, il ne se passe pas un jour sans qu'un dirigeant du parti socialiste ou pire, l'un de vos ministres, ne vous défie, ne vous conteste ou ne vous contredise en public. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) En quatre jours, c'est le...
Ma question s'adresse à M. le Premier ministre. Le Président de la République a souhaité renouer avec l'interview du 14 juillet. Nous étions donc en droit de nous attendre à des réponses sur deux sujets de préoccupation majeure des Français. D'abord sur la compétitivité de nos entreprises. Or, vingt-quatre heures après l'annonce du plan socia...