Les amendements de Christian Jacob pour ce dossier
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Ce n’est pas la première fois : déjà, rappelons-nous, il s’était tourné vers l’opposition en déclarant : « Le terrorisme, c’est vous ! »
Déjà il avait perdu son sang-froid à ce moment-là ! Et voilà qu’il s’adresse aujourd’hui au groupe de l’opposition, à l’UMP en ces termes : « Vous qui venez de l’extrême-droite ! » Mais c’est ignoble ! Ignoble !
Je voudrais m’adresser au représentant du Gouvernement qui est ici : ces propos sont ignobles, ils sont inacceptables, ils sont incompatibles avec les fonctions qu’exerce M. Valls. Comment peut-il se tourner vers nous en nous insultant de cette manière ?
Soit il y a encore un chef dans ce Gouvernement – la question mérite d’être posée –, et au nom du Gouvernement, il présente ses excuses à l’opposition. Sinon, monsieur le président, je vous le dis, ces questions d’actualité n’ont plus aucun sens et ne présentent plus aucun intérêt à nos yeux.
Monsieur le Premier ministre, samedi matin, votre ministre de l’intérieur promettait la plus grande sévérité aux participants de la « Manif pour tous ». À sa décharge, nous reconnaissons qu’il est beaucoup plus facile de stigmatiser des citoyens pacifiques et honnêtes plutôt que de traquer les délinquants qui pourrissent la vie des Français
invoquant « les forces sombres de la division », « le climat des années 1930 ». Par ces mots blessants et insultants, il cherche à discréditer des millions de Français et avec eux, l’opposition parlementaire qui combat votre politique familiale.
Monsieur le Premier ministre, nous nous opposerons à votre matraquage fiscal des familles, nous nous opposerons à la théorie du genre,
nous nous opposerons à la gestation pour autrui. Monsieur le Premier ministre, dans ce combat politique, nous défendons nos convictions. Nous n’avons pas à être insultés ou caricaturés, ni par vous, ni par votre ministre de l’intérieur, ni par aucun de vos ministres.
Monsieur le Premier ministre, j’ai deux questions à vous poser. Partagez-vous, oui ou non, l’opinion de M. Valls selon laquelle les Français qui ont manifesté dimanche sont des anti-républicains ?
Après l’annonce du président du groupe socialiste qui promet de déposer des propositions de lois concernant la famille, vous estimez-vous toujours légitime à être le chef de la majorité, monsieur le Premier ministre ?
Ma question s’adresse à M. le Premier ministre. La vie privée doit être un sanctuaire pour tous nos concitoyens, y compris pour le Président de la République.
Il y a un an, vous nous avez proposé une loi pour la transparence de la vie politique à la suite du scandale de l’affaire Cahuzac. Cette loi traduit une véritable course démagogique à la transparence, qui débouchera sur le voyeurisme.
…et de nous dire quelles suites il entend donner à cette affaire, en particulier s’agissant du rôle officiel de sa compagne. Reste la question de sa sécurité. Pendant le temps de son mandat, le Président de la République n’est pas un citoyen normal. Il est le chef de nos armées ; il est la clé de voûte de nos institutions. Sa protection ne doi...
C’est une défaillance. Deuxième question : est-il possible que le Président de la République décide lui-même de son niveau de sécurité et de protection ?
Monsieur le Premier ministre, le Président de la République doit prendre conscience du niveau des responsabilités qu’il exerce,…
…du fait que sa fonction sublime sa personne et qu’il incarne l’image de la France aux yeux du monde ?
Ma question s’adresse à M. le Premier ministre. Monsieur le Premier ministre, vous m’avez invité lundi prochain à Matignon. J’y serai
et j’ai bien compris que vous attendiez des propositions, mais depuis dix-huit mois, vous menez une politique fiscale asphyxiante et injuste : asphyxiante parce que vous avez écrasé notre économie avec 50 milliards d’impôts nouveaux, injuste car elle frappe sans retenue tous les Français alors que vous aviez annoncé ici même que 90 % d’entre eu...
Sur la forme, vous avez préparé cette réforme en catimini. Votre ministre de l’économie et des finances n’en a été informé que par la presse. On nous dit même que vous avez court-circuité le Président de la République.
Sur le fond, le groupe UMP ne peut pas cautionner un projet fiscal qui ne s’attaque pas prioritairement à la baisse de la dépense publique,