Les amendements de Élie Aboud pour ce dossier

23 interventions trouvées.

Monsieur le ministre de l’intérieur, non, les policiers biterrois, ni les autres d’ailleurs, ne réclament pas plus d’argent : ils veulent juste être respectés. Après l’attaque, lâche, de quatre policiers le 8 octobre dernier à Viry-Châtillon, ayant brûlé gravement deux d’entre eux, c’est toute la France républicaine qui a été profondément choq...

À Béziers, par exemple, les policiers manquent de tout, monsieur le ministre : véhicules anciens, matériel obsolète, locaux vétustes et particulièrement inadaptés à leurs nouvelles missions. Être trois dans un bureau pour interroger une victime ou un malfaiteur, c’est inadmissible. On le sait, vous le savez, le commissariat est quasi insalubre....

Ma question, à laquelle je voudrais associer mon collègue Dino Cinieri, s’adresse à M. le garde des sceaux. Monsieur le garde des sceaux, ces phrases prononcées par un détenu ne proviennent pas d’une fiction, d’un roman ou du dernier film d’action sorti dans nos salles de cinéma. Non, c’était malheureusement dans la vraie vie – j’ai envie de d...

Monsieur le ministre, dans quelle République vivons-nous ? Ce sont les Français, les personnels pénitentiaires qui en sont les victimes, mis en danger par la faute d’une politique laxiste en la matière.

Il est vrai que vous n’héritez pas d’un dossier facile car votre prédécesseure, qui a marqué par son inaction, faisait des gorges chaudes au nom d’un humanisme mal placé et parfois, malheureusement, destructeur.

Ma question s’adresse à Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. J’y associe les députés de mon groupe. Madame la ministre, comment réussir une réforme sans dialogue ? Une réforme avec une absence significative de cap, de gouvernance et d’objectifs communs ? Aucune réflexion de fond sur la démographie médic...

Aucune réflexion de fond sur le parcours de soins, sur la nécessaire coordination entre le public et le privé, entre la médecine de ville et l’hôpital, entre le secteur médical et le secteur médico-social. Aucune réflexion de fond sur le métier de soignant, de plus en plus embolisé par des tâches administratives. Ce temps administratif ronge l...

Ma question s’adresse à Mme la ministre de la santé. Nous sommes le mardi 12 mai 2015, un moment symbolique important car c’est la journée internationale des infirmiers et infirmières. Je vous poserai ma question au nom de l’ensemble de mes amis du groupe UMP car nous sommes tous tristes, pour ne pas dire choqués, par la décision de faire disp...

Choqués sur la forme et tristes sur le fond. Choqués sur la forme car cet ordre, qui est le deuxième de France, a disparu dans la nuit du 9 au 10 avril, en cinq minutes, en catimini, alors qu’il se construisait patiemment depuis dix ans et qu’il rassemble aujourd’hui 170 000 infirmiers et infirmières. Cette décision est tout simplement inexplic...

Tristes sur le fond car tous ces inscrits seront purement et simplement rayés de la carte, bafoués. Plus de 1 200 bénévoles et élus ont été déconsidérés et pas moins de soixante-dix salariés vont se retrouver au chômage, avec toutes les conséquences que cela implique pour leurs familles. Qui remplacera cette structure autogérée, déontologique ...

Madame la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes, vous avez réussi ce qu’aucun ministre de la santé n’avait réussi avant vous

 ; vous avez réalisé un exploit digne d’un livre des records (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC)…

les médecins, généralistes comme spécialistes, les personnels hospitaliers du secteur public comme ceux du secteur privé, les syndicats, de gauche comme de droite, les étudiants, les internes, les dentistes, les pharmaciens, les infirmières et toutes les professions paramédicales.

Oui, madame la ministre, tous les professionnels de santé sans exception ! Votre dernière intervention a été extraordinaire. Dans un grand quotidien du soir, vous avez parlé du tiers payant généralisé dans un langage technocratique alarmant. La réponse des professionnels de santé fut immédiate, et ils vous le diront encore ce dimanche 15 mars....

Une phrase de Sacha Guitry me revient : « La raison et la logique ne peuvent rien contre l’entêtement ». Ma question est simple : pourquoi ce passage en force, au mépris de tous les acteurs de terrain, et pourquoi un tel entêtement ?

Monsieur le ministre de l’intérieur, je voudrais vous interroger sur les derniers chiffres alarmants de la délinquance dans notre pays. Vous avez réussi à anesthésier les professionnels de l’ordre public, auxquels, au nom des députés de l’opposition, je veux rendre un hommage appuyé,

en faisant du médiatiquement correct, en pratiquant l’activisme, et je dois reconnaître que votre piqûre était sacrément bien dosée.

…n sait qu’après certaines anesthésies, il peut y avoir des réveils difficiles. C’est aujourd’hui tout simplement l’heure de vérité, l’heure du bilan. En un an, nous avons connu une hausse du nombre des cambriolages de 6,4 % en ville et de 4,7 % en zone rurale. Le nombre de vols avec violence contre les femmes sur la voie publique est passé de ...

Madame la ministre des affaires sociales et de la santé, je souhaite vous parler de l'hospitalisation privée dans notre pays mais, auparavant, je donnerai quelques chiffres à la représentation nationale. L'hospitalisation privée accueille 8 millions de patients tous les ans, dont 25 % de titulaires de la CMU. Elle participe pleinement à la chaî...

Il ne s'agit pas d'opposer le public et le privé, mais d'avancer ensemble sur le chemin d'une meilleure prise en compte des enjeux de santé publique. Madame la ministre, au bout d'un an, on ne compte même pas une visite de votre part dans une seule clinique privée tout un symbole ! N'opposons pas ces professionnels et sortons d'une vision do...