Les amendements de Guillaume Larrivé pour ce dossier

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Monsieur le Premier ministre, l’Europe s’enfonce un peu plus chaque jour dans le chaos migratoire. Depuis le 1er janvier, ce sont déjà plus de 153 000 personnes qui sont entrées en Europe par la Méditerranée. C’est une hausse vertigineuse de 558 % par rapport à l’année dernière. Rien n’est maîtrisé. Rien n’est contrôlé. Les frontières extérieur...

Monsieur le Premier ministre, ouvrez les yeux ! Ce projet d’accord n’est qu’un marché de dupes. Le Président de la République a tort de rester silencieux. Le Président de la République a tort d’accepter l’ouverture d’un chapitre de négociation monétaire qui relance le processus d’adhésion de la Turquie à l’Europe.

Le Président de la République a tort, plus encore, d’accepter la perspective d’une libéralisation des visas, qui signifierait la libre circulation de 80 millions de Turcs en Europe. Ce serait une folie. Monsieur le Premier ministre, au nom des députés Les Républicains, je vous appelle à faire entendre la voix de la France et à défendre l’intér...

Nous vous demandons de dire non à la libre circulation des Turcs en Europe. Nous vous demandons de dire non à l’adhésion de la Turquie à l’Europe.

Monsieur le Premier ministre, prenez vos responsabilités ! Votre responsabilité personnelle est engagée. Dites la vérité aux Français !

Monsieur le Premier ministre, permettez-moi une confidence : il est parfois assez difficile de comprendre quelle est la logique, la cohérence de votre politique économique, budgétaire et fiscale.

Il y a quelques jours, vous avez vous-même déclaré que François Hollande et Jean-Marc Ayrault avaient, au début du quinquennat, provoqué des dégâts considérables. Merci de cet aveu et de ce premier éclair de lucidité. Mais depuis que vous êtes Premier ministre, cela continue : 14 milliards d’euros d’impôts supplémentaires ont été prélevés sur ...

La ministre des collectivités locales demande aux députés de rejeter la réforme de la dotation globale de fonctionnement qu’elle a elle-même présentée.

Et, ce matin, le porte-parole du Gouvernement demande que le Parlement rejette la réforme de l’allocation adulte handicapé que vous-même proposez.

La vérité, monsieur le Premier ministre, c’est que nous assistons, éberlués, à une sorte de happening permanent où ce qui est annoncé le matin est contredit l’après-midi avant d’être démenti le soir.

Ma question sera très directe, monsieur le Premier ministre : y a-t-il un pilote dans l’avion à l’Élysée ou à Matignon, ou bien est-ce que votre méthode de gouvernement est désormais la godille, l’improvisation et le zigzag permanent ?

Monsieur le ministre de l’intérieur, pour gagner la guerre contre le terrorisme, il faut nommer notre ennemi, sans crainte, sans faiblesse. L’islamisme, l’islamisme radical, l’islamisme fanatique, voilà l’ennemi ! Le communautarisme est son allié. Le silence et l’ignorance sont leurs complices. Pour les vaincre, il faut combattre en utilisant ...

Vous devez, nous devons lutter plus efficacement et rapidement contre le cyber-djihadisme, c’est-à-dire l’utilisation dévoyée d’internet par des prêcheurs de haine. Nous devons donner aux services de renseignement des moyens juridiques et technologiques adaptés à la menace. Nous devons interdire le retour en France des djihadistes étrangers et ...

qui a commis la grave erreur de supprimer les peines planchers. Alors, oui, monsieur le ministre de l’intérieur, nous avons un devoir d’unité, mais nous avons plus encore un devoir d’efficacité.

Monsieur le Premier ministre, à New York comme à Ottawa, à Bruxelles comme à Toulouse, un ennemi nous fait la guerre. Cet ennemi, c’est l’islamisme radical armé, le djihadisme, qui veut affaiblir par la terreur la plus barbare nos sociétés démocratiques. La France est menacée car nous incarnons la liberté, l’égalité entre les femmes et les hom...

Mais nous vous appelons aussi, monsieur le Premier ministre, à renforcer l’effort national contre ce fléau qu’est la radicalisation islamiste dans les prisons. Il faut regarder la réalité en face : les 189 établissements pénitentiaires de notre pays accueillent environ 40 000 détenus qui peuvent être considérés comme de religion ou de culture m...

Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, depuis bientôt deux ans, François Hollande est installé à l’Elysée. Il a été élu par défaut, sur un seul programme, l’antisarkozysme.

Il préside la France comme il a géré le parti socialiste, en multipliant les petits arrangements et les grands renoncements.

Il vient de faire perdre deux ans à notre pays. Partout en France, à Nantes comme à Auxerre, les Français n’en peuvent plus.

Ils paient, chaque jour, le prix de vos erreurs. La France est affaiblie lorsque notre économie s’enfonce dans la croissance zéro.