Pour pallier ce refus d'objection de conscience, il m'a paru utile de demander que le premier prénom de l'officier d'état civil qui reçoit la déclaration figure comme le premier prénom de l'enfant à baptiser. Cela fait partie, vous le comprenez, de mon raisonnement par l'absurde, et je retirerai cet amendement si l'on me le demande.