Je me réjouis que M. Chassaigne et ses collègues aient retiré les amendements de suppression. Voyez plutôt la leçon de ce soir : désormais, dans notre pays, les entreprises s'administrent avec les salariés. Quel message fort, quand bien même les salariés ne seraient que deux ! Comme vous, je souhaite que nous envisagions pour l'avenir une proportion d'un tiers. Je constate par ailleurs que vous avez renoncé à l'appropriation des moyens de production par les salariés, puisque vous n'avez pas déposé un amendement portant cette proportion à 51 %... (Sourires.)