Il faut savoir ce que l'on veut, mon cher collègue. Si l'on cherche l'intérêt général, on peut tout à fait réfléchir, pourquoi pas ? à une réduction des délais de prescription,. En revanche, s'agissant des discriminations, question éminemment républicaine qui nous rassemble tous, on ne peut accepter qu'il n'y ait pas une réparation intégrale du préjudice – nous avons bénéficié d'une longue suspension de séance pour en discuter. Je reste donc très attaché à cet amendement.
(L'amendement n° 2191 est adopté.)