La commission a repoussé cet amendement, qui ne vise pas à simplifier, mais à réduire les droits des salariés.
Madame Ion, on pourrait au fond résumer nos débats de manière assez simple – au-delà des précisions qui pourraient être apportées au cas par cas : lorsque les salariés auront besoin de temps pour faire valoir leurs droits, ils l'auront ; lorsque, au contraire, le contentieux pourrait avancer vite, les choses iront plus vite. Je prie mes collègues avocats qui siègent dans cet hémicycle de m'excuser de ma remarque, mais il faut bien admettre que ce sont surtout les avocats qui gagnent de l'argent lorsque les affaires traînent.