C'est pourquoi que je me félicite que vous ayez limité le nombre d'amendements, monsieur Lagarde !
Dans le texte tel qu'il est prévu, la peine envisagée est un emprisonnement d'un an ou une amende de 45 000 euros. Nous souhaitons que la loi puisse laisser au juge la capacité d'appréciation, et non le contraindre comme vous le proposez en réalité.