Au nom du groupe UDI, je suis plutôt favorable à la disposition qu'il est proposé de supprimer. Soyons francs, nous savons tous que nombre de nos collègues – dont certains sont présents dans notre hémicycle aujourd'hui même – exercent des activités de conseil après avoir exercé des fonctions gouvernementales de premier plan, dont on sait qu'elles sont rémunérées avant tout en raison du carnet d'adresses constitué par ceux qui les exercent, et constituent donc une façon simple d'arrondir ses fins de mois – et s'il faut citer des noms, je peux en citer des dizaines.