Je m’étonne, monsieur Riester, que vous n’ayez pas à coeur de préserver les droits du Parlement, auxquels vous avez pourtant affirmé, à plusieurs reprises, être attaché. En effet, l’amendement no 109 , que le Gouvernement a opportunément présenté, laisse la capacité au Parlement de décider ou non d’auditionner les présidents nouvellement nommés.