La loi doit clarifier les choses, et cela répond d’ailleurs à l’une de vos demandes.
M. Richard a demandé si la réforme de la géographie prioritaire était liée à une forme de désengagement financier de l’État. J’ai déjà répondu à M. Asensi à ce sujet. Il faut dépasser le comique de répétition consistant à réclamer : « La liste, la liste, la liste ! »