Pourquoi certaines villes resteront-elles prises en charge ? Parce qu’elles concentrent des difficultés importantes et ont encore besoin du soutien actif de l’État et des autres collectivités pour essayer d’améliorer la vie de leur population.
Monsieur Richard, comme l’indique le texte, les villes qui demeureront dans le périmètre de veille active pourront encore contractualiser avec l’État, avec les moyens de droit commun, mais je répète ce que j’ai dit en commission : pour 2014, les crédits seront maintenus, car il s’agit d’une année transitoire.
Par ailleurs, je serai très attentif à ce que l’on n’arrête pas certains dispositifs qui ont fait leur preuve dans les quartiers et qui doivent s’inscrire dans la durée – je pense tout particulièrement aux programmes de réussite éducative engagés par les communes. Dès que la liste sera publiée, à la fin du printemps, nous nous mettrons au travail avec les élus.
Comme je l’ai dit dans mon intervention liminaire, nous posons un cadre, mais l’application de cette politique nécessitera l’engagement de tous au service des habitants de nos quartiers.