Tant que le matraquage se poursuit, je persiste dans ma démarche. Je ne comprends pas, monsieur le ministre, pourquoi vous matraquez les établissements de santé dont l'objet social est, j'insiste, d'intérêt général. Ils connaissent depuis de nombreuses années des contraintes budgétaires. Je vous propose donc d'exclure ces établissements de l'augmentation de la taxe sur les salaires. Vous allez faire un mal considérable à notre société. Mais ça, vous en avez l'habitude. (Protestations sur les bancs du groupe SRC.)