Nous avons dit combien cette proposition de loi était pertinente, puisque les dispositions qu’elle comporte avaient été adoptées à l’unanimité par la MECSS, suite à une analyse extrêmement explicite de la Cour des comptes, qui ne peut être remise en cause.
Mes chers collègues, on ne peut que s’étonner de cette motion de rejet préalable, sauf à ce que vous ne l’adoptiez pas… Qu’en sera-t-il – et je m’inquiète pour vous – quand vous allez devoir voter ce que vous propose le Premier ministre ?