Ma question, très simple, s’adresse à M. le ministre de l’intérieur. Parmi ces amendements nos 210 rectifié , 211 rectifié et 212 rectifié , l’un a la particularité d’inscrire dans la loi quelque chose qui est déjà dans la Constitution, et un autre celle d’aborder le fond du prochain texte. Considérez-vous aussi, monsieur le ministre, que cela contribue à la sublimation de l’âme ?