Sur cette question du statut de l’animal, je ferai un duo avec Geneviève Gaillard. Ma collègue étant intervenue avant moi, elle a déjà dit ce que j’aurais pu dire. Nous partageons les mêmes opinions sur la question de la protection animale ; nous avons travaillé ensemble à l’élaboration de la proposition de loi qui vient d’être évoquée, et dont nous aimerions qu’elle soit discutée dans cet hémicycle afin de disposer réellement d’une loi sur le régime juridique de l’animal.
Effectivement, l’amendement de M. Glavany était une façon assez habile d’introduire ce statut juridique de l’animal dans la loi tout en évitant qu’il ait des conséquences réelles.