Je m’exprime sous réserve d’une vérification de ce que vient de dire Mme Dubié, même si la loi peut très bien modifier le système – il reste à savoir si c’est opportun.
Il ne faut pas rendre le système trop rigide : une affectation doit pouvoir être décidée sans qu’un directeur puisse opposer un refus d’admission, d’une manière peut-être parfois un peu raide, en raison de sa personnalité, parce qu’il estime que les places sont insuffisantes ou que son centre n’est pas assez bien pourvu pour héberger les personnes en cause. Nous ne vivons pas dans un monde idéal, mais dans un monde réel. L’essentiel est d’arriver à héberger tout le monde le mieux possible : c’est pourquoi une rigidité excessive de la procédure serait sans doute dommageable.