Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, madame et messieurs les ministres, je ferai d’abord une petite remarque sur cette question d’union nationale, de concorde et d’esprit du 11 janvier.
Je ne suis pas certain, monsieur le Premier ministre, que la référence à François Mitterrand, alors que nous débattons d’un texte sur les écoutes téléphoniques, soit de nature à favoriser l’union et la concorde nationales.