Vu la façon dont travaillent les services de renseignement, c’est-à-dire de manière très hiérarchique et dans le respect du secret défense, ce serait introduire une faculté dont nous ne mesurons pas les effets. Et le faire à l’occasion d’un amendement, et cela malgré les doutes et les interrogations exprimées par le ministre, j’avoue que, personnellement, je n’y suis pas favorable.