Vous avez réécrit cette proposition, après l’avoir déposée une première, puis une deuxième fois. Compte tenu de la gravité du thème dont nous débattons, vous ne pouvez pas vous permettre cette impréparation totale, qui renvoie d’ailleurs à une question fondamentale : pourquoi maintenant ? Pourquoi, maintenant, être si peu précis, pourquoi, maintenant, vouloir donner un coup d’accélérateur, alors que nous savons bien que le risque de la censure constitutionnelle est toujours présent sur cette question ?