Madame la secrétaire d’État, je suis un peu étonné par vos propos : manifestement, il s’agit d’une réponse très technocratique et totalement déconnectée de la réalité.
J’insiste sur un point : vous avez complètement omis qu’un certain nombre de jeunes, notamment de lycéens, pouvaient aussi, à un moment donné, avoir des projets personnels d’études à l’étranger, conçus par eux-mêmes. Par conséquent, réduire comme vous l’avez fait, les possibilités de reconnaissance aux partenariats entre établissements français et établissements étrangers, dans lesquels il faudrait s’inscrire, illustre effectivement la différence politique et idéologique entre nous. Car, là où, en définitive, vous ne pensez que technostructure, nous raisonnons en fonction du projet de l’individu.
Vous n’avez à aucun moment abordé la question du projet individuel, celui de la personne concernée.