Les amendements de Marc Le Fur pour ce dossier
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L'application de l'article 57 alinéa 3 du règlement a été demandée. Il n'y a pas lieu de débattre sur une telle demande. Je n'ai donné la parole qu'à ceux qui s'étaient manifestés dès la reprise de la séance. Il n'y a plus lieu de faire des rappels au règlement. Conformément à l'alinéa 3 de l'article 57 du règlement, l'Assemblée est appelée à ...
Je rappelle que la suspension est de droit. La parole est à Le M. Bruno Le Roux, pour un rappel au règlement.
La séance est suspendue. (La séance, suspendue le mercredi 18 juillet 2012 à une heure quarante-cinq, est reprise à une heure cinquante-cinq.)
Il est un peu vrai, monsieur de Rugy, que, malgré tout, nos travaux avançaient avant que vous ne preniez la parole. (Protestations sur les bancs des groupes SRC, écologiste et RRDP.)
Et si vous pouviez avoir la délicatesse d'apaiser un peu la situation, nous pourrions travailler, certes pas trop tard mais un peu tout de même. Vous avez la parole pour un rappel au règlement, monsieur de Rugy.
Notre rapporteur général m'en excusera, j'ai sous les yeux les chiffres de l'enquête Eurostat de 2011 sur les coûts du travail des salariés dans l'ensemble de l'économie, industrie et services marchands : 34,20 euros l'heure en France, contre 30,1 en Allemagne. Cessons donc le débat, il y a bien une différence entre la France et l'Allemagne en ...
Voilà ce que nous devons faire, ensemble. C'est la condition pour que notre pays reste compétitif par rapport à nos partenaires européens.
M. Jacob, voici ce que je vous propose : demain, dès le début de la réunion du Bureau de l'Assemblée, qui se réunira en présence du président Bartolone, j'évoquerai cette question.
Non, la question de l'incident provoqué par les propos de M. de Rugy. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et écologiste.). Je vous propose une solution ! J'essaie d'aider ! Si vous en êtes d'accord, nous pourrions commencer par entendre un certain nombre des amendements déposés par nos collègues. Cette solution me semble relativement h...
Mes chers collègues, nous allons examiner les amendements de suppression qui émanent pour l'essentiel du groupe UMP. Je n'imagine pas un seul instant que nous ne puissions débattre de ces amendements. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.) Si le président Jacob rejette ma proposition, je crains que nous ne soyons dans l'obligation de leve...
Je rappelle que le Gouvernement, dans sa grande sagesse, a demandé, lors de la Conférence des présidents de mardi matin, à ce que l'on ouvre les séances le jeudi et le vendredi. Il s'agit d'un grand débat, qui vient tout juste de commencer et qui peut nous occuper toute la semaine : cela n'a rien d'illégitime.
La parole est à M. François de Rugy, qui va peut-être formuler des excuses, ce qui nous aiderait.
M. de Rugy, je regrette que votre attitude nous interdise de poursuivre sereinement nos débats. Comme nous disposons du temps nécessaire pour les poursuivre cette semaine, nous allons interrompre nos travaux. La suite de la discussion est renvoyée à la prochaine séance.
Que se passerait-il ? Quelles en seraient les victimes ? Les régions périphériques, c'est-à-dire la Corse, la Bretagne puisqu'il existe une liaison Brest-Paris ! ou encore le Sud-Ouest, avec la liaison entre Toulouse et Paris. Vous imaginez la catastrophe, d'autant plus grande que, nous l'avons tous entendu vous-même, monsieur le ministr...