Les amendements de Rudy Salles pour ce dossier
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Je déplore la volonté d'abolir un système qui nous a beaucoup apporté au cours de nos scolarités respectives. Peut-être pas à vous, madame Pompili, qui n'aviez que des bonnes notes, mais à ceux qui ont eu de bonnes et de moins bonnes notes. On n'oublie pas les très mauvaises notes, qui donnent envie de se surpasser, de s'améliorer et de progres...
Et outre les notes, il y a l'ambiance générale, examinée en conseil de classe, qui permet une évaluation plus globale. Je suis totalement opposé à cet amendement.
Madame la présidente, sous la pression amicale du Gouvernement et du rapporteur, Mme Pompili a retiré l'amendement n° 122. Or le groupe UDI voulait le reprendre et M. Gomes le défendre. Je suis désolé que nous n'ayons pas pu le faire, les choses étant allées exceptionnellement très vite.
Pouvez-vous, monsieur le président, nous donner les raisons pour lesquelles M. Gomes n'a pas pu soutenir son sous-amendement ?
Monsieur le rapporteur, monsieur le ministre, vos réponses sont un peu rapides ! J'aimerais obtenir quelques explications à ce sujet. Nous avons eu de longs débats en commission, sur le lien entre l'école et l'entreprise et sur l'éveil de l'esprit entrepreneurial chez les élèves. Nous savons qu'à la sortie de l'école, les élèves auront à affro...
Je soutiens M. Hetzel dans ses propos. Le déroulement de ce débat rappelle celui mené en commission. Monsieur le rapporteur, il y a peut-être eu, sur ces questions aussi essentielles, des heures d'auditions ainsi que des heures de réunions en commission, auxquelles nous avons participé, mais nous avons posé des questions sans jamais obtenir de...
Nous aurons l'occasion de reparler du numérique, puisqu'il est évoqué un peu plus loin dans le projet de loi. Je veux simplement rappeler à nouveau que, si nous souscrivons tous au choix du numérique, force est de constater que vous avez fait un choix industriel, et non pas un choix pédagogique. Il faudra effectivement une formation, mais il fa...
Monsieur le président de la commission, je ne mets pas en cause la manière dont vous dirigez nos travaux en commission, qui se passent dans un climat très agréable et serein. Cependant, sur ce texte, pourquoi avons-nous examiné en séance quatre-vingt-treize amendements de l'opposition et aucun de la majorité ? C'est tout simplement parce que vo...
Avec cet amendement, nous allons pouvoir supprimer une pomme de discorde, dont le rapporteur vient de parler, cette fameuse « dizaine d'années ». Voyez-vous, nous sommes ici, nous, pour essayer d'améliorer le texte, pour essayer de participer à la réforme, si tant est que ce soit possible. Encore faut-il que vous entendiez, vous, le message. P...
Madame la présidente, nous avons examiné plusieurs amendements soumis à une discussion commune. Vous n'avez procédé qu'à un seul vote, alors que ces amendements étaient différents. Il ne s'agissait pas d'amendements identiques, il fallait donc faire plusieurs votes et non pas un vote unique !
Il ne s'agit pas uniquement de l'amendement n° 809 ! Il y a eu une erreur de procédure : je pense qu'il faut procéder à nouveau au vote de tous les amendements soumis à une discussion commune.
Je tiens d'abord à saluer la performance de Benoist Apparu, son talent et sa force de conviction, malgré ce que j'en ai entendu par ailleurs. Je suis d'accord avec Mme Pompili : il faut débattre (Exclamations sur les bancs des groupes écologiste et SRC), mais, en l'occurrence, ce n'est pas un vrai débat qui se tient. Nous l'avons constaté en c...
Franchement, prétendre que nous allons vers le qualitatif, que le quantitatif n'a aucune importance, alors que les 60 000 postes, on le sait, ne sont pas financés, ce n'est pas sérieux ! C'est la raison pour laquelle le groupe UDI votera bien entendu la motion de rejet préalable. (Applaudissements sur les bancs des groupes UDI et UMP.)
Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le président de la commission, monsieur le rapporteur, chers collègues, les chiffres que l'on nous assène sur l'école tombent comme des couperets sur l'éducation nationale, ce grand corps malade, bien que puissant ; fragile, bien que porté et soutenu par tous les Français ; anémié à certains ...