Le temps de parole est dépassé !
Encore heureux !
Eh oui !
Vous ne l'ouvrez pas du tout aux entreprises !
Madame la ministre, les bras m'en tombent.
Vous venez de dire que vous n'étiez pas ici pour répondre à nos questions, mais je vous rappelle que vous êtes à la disposition du Parlement !
C'était autre chose que cette proposition de loi ! Un peu de modestie !
Là, ça ne change rien !
Où est le ministre ?
Non, non, continuez, je vous en prie !
Mais c'est très intéressant !
Avec la majorité à l'Assemblée, tout de même !
Avec vous, on n'est jamais déçu !
Nous le constatons, intervention après intervention, et cela vous amène régulièrement à déraper.
Non, c'est la réalité.Ni qu'il soit mieux traité qu'un petit retraité qui n'a pas les moyens de se payer une mutuelle. (Mêmes mouvements.)
83 % des Français pensent le contraire !
700 % d'augmentation !
Et l'agrément ?
En quoi le remettons-nous en cause ?
C'est complètement hors sujet !
Ce n'est toujours pas le sujet !
Vous avez beau continuer sur ce thème, ce n'est pas le sujet !
Ne l'insultez pas, il est votre allié ! (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GRD.)
Ça commence mal !
C'est la réalité !
Quelle démagogie !
On a conscience de l'effort que vous faites !
Vous n'êtes pas dans le mépris, vous êtes dans le mensonge permanent !
Arrêtez d'inventer, vous êtes en plein délire !
Il n'y a pas de sujet !
Mon rappel au règlement est fondé sur l'article 58, alinéa 3, du règlement.Monsieur Le Roux, je voudrais vous remercier d'avoir rendu hommage à Nicolas Sarkozy et à sa majorité d'hier (Exclamations sur les bancs du groupe SRC) pour avoir créé ce temps à la disposition des groupes de l'opposition ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Mais un avis défavorable du rapporteur !(Il est procédé au scrutin.)
Mon intervention se fonde sur l'article 58, alinéa 3.Traditionnellement, la commission émet un avis par la voix du rapporteur. Bien souvent, celui-ci peut avoir un avis personnel différent de celui de la commission et la pratique veut qu'on puisse l'entendre. Or je suis surpris que l'on n'ait pas interrogé le rapporteur mais Mme Lemorton. Au nom de quoi Mme Lemorton donne-t-elle l'avis de la commission ? J'y insiste, le rapporteur est fondé à donner son avis. (Applaudissements sur de nombreux bancs du groupe UMP.)
Et les retraités ?
Il n'y a pas de cohérence !
Monsieur le Premier ministre, cinq mois après votre nomination, il ne se passe pas un jour sans qu'un dirigeant du parti socialiste ou pire, l'un de vos ministres, ne vous défie, ne vous conteste ou ne vous contredise en public. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP – Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)En quatre jours, c'est le rapporteur général du budget qui, contre votre avis, intègre les oeuvres d'art dans le calcul de l'ISF, c'est le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, monsieur Bruno Le Roux, qui s'oppose à vous publiquement sur la procréation médicalement assistée. (« Eh oui ! » sur les bancs du groupe UMP.) Et ...
Dommage, c'est passionnant !
Et vous, vous avez créé combien d'entreprises ?