Jean-Jacques Urvoas, président de la commission des lois
Jean-Jacques Urvoas Mais elle est réelle ! Voilà le drame !
Jean-Jacques Urvoas, président de la commission des lois
Jean-Jacques Urvoas Toujours, chez les écolos !
Jean-Jacques Urvoas, président de la commission des lois
Jean-Jacques Urvoas C’est justifié !
Jean-Jacques Urvoas, président
Jean-Jacques Urvoas Je confirme que, durant les congés de Noël, nous avons échoué à trouver, avec le Premier président de la Cour des comptes et le président de la délégation aux Outre-mer de notre assemblée, M. Jean-Claude Fruteau, un calendrier qui permette de tenir une réunion commune. La présentation du rapport devant la Délégation a donc déjà eu lieu, mais j'espère que nous pourrons recevoir à notre tour le Premier président sur ce sujet, notamment pour réfléchir aux perspectives ouvertes par le Gouvernement concernant Mayotte 2025.
Jean-Jacques Urvoas, président
Jean-Jacques Urvoas Oui !
Jean-Jacques Urvoas, président
Jean-Jacques Urvoas Je n'y verrais que des avantages.
Jean-Jacques Urvoas, président
Jean-Jacques Urvoas Permettez-moi de préciser un point de procédure : le retrait étant impossible en l'absence du Gouvernement, la Commission doit, si elle souhaite suivre l'avis du rapporteur, se prononcer contre l'amendement.
Jean-Jacques Urvoas, président
Jean-Jacques Urvoas L'exposé sommaire de M. Coronado est cinglant dans sa concision : la modification introduite par le Sénat l'a été « sans justification ».
Jean-Jacques Urvoas, président
Jean-Jacques Urvoas Je suis en mesure de vous donner des informations qui concernent le projet de loi constitutionnelle de protection de la Nation. La Conférence des présidents, réunie hier, a inscrit ce projet à l'ordre du jour de notre assemblée le vendredi 5 février, puis le lundi 8 et le mardi 9. Je vous rappelle qu'en application de l'article 42, alinéa 2, de la Constitution, et conformément à l'article 90 du Règlement de l'Assemblée nationale, la discussion en séance portera sur le texte déposé par le Gouvernement et non sur le texte de la Commission – il en allait ainsi pour tout projet de loi avant la révision constitutionnelle de 2008. Vous pouvez ainsi ...
Jean-Jacques Urvoas, président
Jean-Jacques Urvoas Nous avions souhaité que le « droit de tirage » soit un vrai droit de tirage, comme c'est le cas au Sénat. Notre vote sur cette proposition de résolution marque ce changement : nous n'avons plus à nous prononcer sur l'opportunité de créer la commission d'enquête, simplement sur la recevabilité d'une telle proposition.
Jean-Jacques Urvoas, président
Jean-Jacques Urvoas Sur une proposition du groupe Socialiste, républicain et citoyen, la commission des Lois a nommé, hier, M. Dominique Raimbourg aux fonctions de rapporteur de la proposition de résolution de M. Christian Jacob, dont la Conférence des présidents a été informée hier matin. Le rapporteur ne pouvait être issu du groupe à l'origine de la proposition de résolution.
Jean-Jacques Urvoas Nous avons demandé des rapports au Gouvernement, malgré son hostilité. Nous les attendons toujours.De ce fait, je reste constant. Le Parlement peut tout faire. Il n’a pas besoin de demander des rapports au Gouvernement.
Jean-Jacques Urvoas Ne m’applaudissez pas trop tôt ! À ma connaissance, nous en avons laissé passer deux : l’un dans la loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles, dite « loi MAPTAM », l’autre dans la réforme pénale.
Jean-Jacques Urvoas Depuis quelques années, nous sommes constants dans notre hostilité aux rapports. Il arrive cependant que notre vigilance soit moins forte.
Jean-Jacques Urvoas Très bien.
Jean-Jacques Urvoas, président
Jean-Jacques Urvoas Oui, mais c'est, je le rappelle, le texte du Gouvernement qui sera examiné en séance et non celui de la commission.
Jean-Jacques Urvoas, président
Jean-Jacques Urvoas Nos règles tiennent à un contrat implicite : en général, le Gouvernement s'entend avec sa majorité avant l'examen en commission. Si des amendements interviennent juste avant la séance, c'est une négation du travail du rapporteur qui s'exprime au nom de la commission. Nous souhaitons que cette règle, dont nous avons longuement débattu, continue à être appliquée comme c'est le cas depuis plusieurs mois. En ce début d'année, je voulais le rappeler au Gouvernement. Comme souvent, madame la ministre, les présents paient pour les autres : vous n'êtes pas particulièrement concernée.
Jean-Jacques Urvoas, président
Jean-Jacques Urvoas C'est l'état d'urgence… (Sourires.) Mais la commission n'est souveraine que pour ses propres travaux !
Jean-Jacques Urvoas, président
Jean-Jacques Urvoas Je profite de ce moment pour faire un point de méthode afin que tout le monde se souvienne des règles que nous avons adoptées. Autant nous sommes très compréhensifs à l'égard du Gouvernement quand il dépose, même tard, des amendements aux textes que nous étudions en commission – cinq amendements déposés cette nuit, ce n'est d'ailleurs pas beaucoup –, autant nous sommes hostiles aux amendements déposés entre nos travaux et l'examen en séance. Madame la ministre, j'appelle donc votre attention sur la doctrine de cette commission : si vous déposez des amendements entre l'examen en commission et la séance, ce qui revient à réduire à néant ...
Jean-Jacques Urvoas, président
Jean-Jacques Urvoas Il nous faut examiner 601 amendements. Nous ne saurions en plus débattre de ceux qui ont été jugés irrecevables par le président de la commission des Finances, aux avis duquel je me tiens.Article 3 (art. L.312–1 du code des relations entre le public et l'administration) : Mesure de coordination avec le nouveau dispositif sur l'occultation des mentions personnelles et des secrets protégés