Jean-Luc Laurent Je voudrais vous remercier d'avoir pris l'initiative de ces présentations. Ces études et éléments d'information sont importants. Au regard de la résolution sur les sciences et le progrès dans la République que l'Assemblée nationale a adoptée il y a deux jours, on voit aujourd'hui toute l'importance de la connaissance et de la diffusion de l'information.Ma première question s'adresse à ENEDIS. Après tout ce qui a été dit, quels sont les éléments que cela conduit à mettre en oeuvre dans vos process d'installation et de suivi, afin de lever les doutes qui persistent encore ? Quels enseignements tirez-vous de ces échanges de points de vue en termes ...
Et ailleurs un acte de charité !
Tout à fait !
C’est une honte !
Excellent rapport !
Ne pouviez-vous rester sur une note positive ?
Tout à fait !
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, je tiens d’abord à remercier les différents signataires de ces propositions de résolution d’avoir permis que se tienne un débat important sur la place de la science dans notre société.La massification de l’éducation est une chance, mais elle est aussi un défi pour toutes les institutions et toutes les autorités. Associé à l’explosion des technologies de communication, le défi est redoublé. La science ne sera plus jamais une religion, ni les savants des prêtres, mais il faut reconstruire l’autorité de la science et une véritable culture scientifique pour les citoyens. ...
M. Jean Grellier a rappelé une vérité que M. Louis Gallois avait soulignée à maintes reprises : une politique industrielle doit s'inscrire dans un temps long. Ce groupe de travail mériterait d'être pérennisé pour permettre de rapprocher les points de vue et de faire oeuvre utile, par-delà le temps politique qui se découpe en législatures de cinq ans.Revenons sur votre deuxième proposition, qui prône le renforcement l'articulation entre la stratégie industrielle au niveau national et les actions conduites par les régions et les métropoles, sachant que la loi NOTRe a accordé de nouvelles compétences aux régions. Quelles modalités concrètes ...
Heureusement que nous votons sur la proposition de résolution et non sur la déclaration de M. le secrétaire d’État !
En 2017, la France est confrontée à d’autres périls, à de vrais terroristes. Il y a presque cinq ans, le terroriste Mohammed Merah assassinait des militaires, des enfants, des professeurs. Le terrorisme frappait à nouveau le sol national. Les cinq dernière années ont marqué la France à jamais.Faire face, rester debout, résister implique une action énergique de l’État. Chaque attentat déjoué est une grande victoire ; chaque échec est un traumatisme. En effet, chaque échec de la lutte antiterroriste nous laisse avec des victimes directes, des victimes indirectes, des blessés, des proches, des corps meurtris, des têtes blessées.Dans le Val-de-Marne, où ...
J’étais à côté du dernier survivant, Arsène Tchakarian, et des associations au cimetière parisien d’Ivry-sur-Seine, dimanche dernier, pour rendre hommage à ces résistants connus comme ceux de l’Affiche rouge, et je tiens à saluer leur mémoire devant la représentation nationale.
Ma question s’adresse à Mme la secrétaire d’État chargée de l’aide aux victimes. Mais permettez-moi tout d’abord, en ce 21 février, de rappeler ici l’exécution de vingt-trois résistants du groupe FTP de la Main-d’oeuvre immigrée de Missak Manouchian par les nazis en 1944.
Hélas ! Vous procédez au dépeçage de la France !
C’est vrai.
Je suis interdit de parole !
Quatre députés ont voté contre.
Non, plusieurs !
Je demande la parole, monsieur le président.
Ce n’est pas ce qu’on a fait de mieux.
Avec un référendum sur lequel on s’assoit, comme en Corse ?
C’est une grave erreur !
Non ! Il y a un peuple français !
Pas nous !
C’est bien là votre dessein !
Il faut garder la République, une et indivisible !
La République n’est pas un mille-feuille !
Il faut consulter les Corses !
Nous sommes tous Français !
On n’est plus au temps des colonies !
Cela n’a rien à voir !
Ce sont des chimères !
Non, la République est une !
Très bien !
Tout à fait ! Il est sage !
Très bien !
Le peuple souverain s’est exprimé ! C’était une très bonne chose !
Ça le mériterait pourtant !
On aurait dû réintroduire le récépissé !
Je connais bien les sites du Val de Bièvre et de Vitry-sur-Seine de Sanofi, qui est un groupe intégré de la production jusqu'à la distribution, en passant par la recherche et l'innovation, soit toute la chaîne de valeur. Comment, à travers les mesures que vous proposez, qu'il s'agisse de filialisation ou de joint-ventures, allez-vous préserver ce caractère intégré qui permet d'avoir une stratégie forte, d'éviter des problèmes comme ceux que l'on voit poindre et d'éviter une perte de souveraineté, d'indépendance mais aussi d'emplois, sans oublier les enjeux sanitaires ?
En tant que rapporteur du budget pour les crédits de l'industrie, j'ai rencontré le groupe Sanofi parmi d'autres acteurs industriels, afin de mesurer les effets du CIR et du CICE, un an après la mise en oeuvre du pacte de responsabilité issu du rapport de M. Louis Gallois.Je soulignerai un paradoxe. L'industrie du médicament se porte bien : elle a réalisé 53 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2015 ; elle compte 100 000 emplois directs et 250 entreprises ; elle arrive au troisième rang des secteurs industriels après l'automobile et l'aéronautique. L'industrie du médicament est en bonne santé et, pourtant, un devoir de vigilance s'impose à nous tous ...
J’entends la réponse du Gouvernement et du rapporteur et je retire cet amendement. Ayant participé il y a quelques semaines à un colloque aux Invalides, par intérêt pour la question de la montée en puissance de la sécurité privée et au regard de la demande qui se fait jour, il me semble important de nous saisir de cette question. Tel était l’objet de cet amendement, que je retire au regard des indications données.
Il va l’être, monsieur le président. Cet amendement a pour objet de demander au Gouvernement la remise d’un rapport, pour une raison très simple : plusieurs dispositions de ce projet de loi concernant la sécurité privée, nous gagnerions à avoir une vision globale pour aborder l’ensemble des questions dans ce domaine. Il me semble nécessaire de préparer l’élaboration d’un futur texte en demandant au Gouvernement un rapport sur cette question à multiples facettes.
Je suis convaincu et je le retire donc.
Cet amendement porte sur l’article 6, qui permet l’armement des agents de sécurité privée exerçant des activités de protection des personnes. Il semble nécessaire d’éviter une trop grande généralisation de cette mesure en la limitant aux seules personnes menacées. L’autorité administrative pourra ainsi apprécier sur des bases matérielles le risque exceptionnel visé par l’article.