Encore une !
Exactement !
C’est dommage !
C’est vrai !
Exact !
Très juste.
L’argument est un peu faible !
Ce serait logique !
C’est le bon sens !
C’est une priorité pour les agriculteurs.
Il faut aller plus loin.
Ce sont de bons amendements et je les soutiens. Il faut réguler la présence du loup sur les territoires, notamment les territoires d’élevage, car c’est un vrai souci pour nos agriculteurs.
Je soutiendrai quant à moi cet amendement, qui « zoome » sur des communes extrêmement boisées. La mesure serait favorable tant pour l’agriculture que pour les paysages.
Et il est plaisant d’avoir un ministre qui discute bien !
Très juste !
Exactement !
Je me réjouis de ces avis. Sur certains territoires, nous ne pourrons jamais installer des usines employant 500 salariés. En revanche, le télétravail permet d’y maintenir des familles, donc des services et des écoles – en un mot, de la vie. Aussi, madame la rapporteure, monsieur le ministre, je vous félicite et vous remercie de votre soutien.
Malgré les programmes nationaux, régionaux et départementaux, malgré l’argent public dépensé, les opérateurs ne jouent pas le jeu et ne viennent pas. Si l’on veut développer ces territoires ruraux, y compris en montagne, il faut leur imposer d’y être présents. J’espère que cet article amendé aboutira à des mesures concrètes et précises, et surtout, cela a été dit, qu’il nous permettra de disposer des moyens financiers adéquats. Sinon, on va prendre beaucoup de retard et la fracture territoriale perdurera.Il y a deux piliers pour développer les territoires de montagne : les infrastructures routières et la couverture numérique. Il faut ...
Monsieur le ministre, vous êtes un bon ministre de la ruralité et des territoires de montagne, mais le compte n’y est pas s’agissant de la couverture numérique. On le voit bien, qu’il s’agisse d’internet ou de la téléphonie mobile : plus on avance dans le temps, plus les problèmes s’accumulent. Comment voulez-vous développer économiquement un territoire sans internet ni la téléphonie mobile ? Juste un exemple : dans ma circonscription il y a un restaurant qui a une étoile au guide Michelin, mais où la téléphonie mobile ne passe pas.
C’est du bon sens !
Eh bien, bravo !
Très juste !
Le maillage actuel de réseaux territoriaux et le service de proximité fonctionnent très bien. À vous entendre, des usines à gaz seront montées, avec pour conséquences un éloignement du terrain et la fixation de prix différents d’un territoire à l’autre. Au final, l’abonné perdra la qualité du service et verra les prix s’envoler. Ce transfert cassera un service et un maillage territorial qui marchent très bien. Je soutiens donc les amendements de mon collègue Chassaigne.
Il faut maintenir nos écoles chaque fois que c’est possible, en tenant compte des spécificités de nos territoires.Je voudrais revenir sur la question des seuils. Pour ces écoles, il convient vraiment d’assouplir ces seuils, notamment ceux de fermeture. On sait très bien que le départ d’une famille de trois enfants peut faire passer sous le seuil en question et entraîner la fermeture d’une classe, qui n’ouvrira plus. Il est important d’analyser ce problème au cas par cas et, surtout, de maintenir nos écoles en territoires de montagne car, j’insiste, c’est la vie en leur sein qui en dépend.
Monsieur le ministre, sur les territoires ruraux et de montagne, l’école, c’est la vie.
Je le dis clairement : imposer le transfert est une bêtise. Sur les territoires de montagne, on s’apprête à faire une sacrée marche arrière.
…parfois sur deux ou trois intercommunalités, voire trois et demie ou quatre, et cela marche formidablement.
Par eux-mêmes, les élus ont su s’organiser…
Pour ma part, je soutiendrai l’amendement. Les territoires ruraux ou de montagne se sont organisés en syndicats. Un transfert obligatoire de la compétence d’assainissement aux communautés de communes est une bêtise : on risque de casser le maillage territorial qui s’est mis en place et a permis une formidable mutualisation de l’eau et de l’assainissement.
Absolument !