Une grande tache !
Et le nombre de chômeurs, de combien a-t-il augmenté ?
Vous confisquez le débat !
C’est une recommandation de l’Académie française !
On n’y croit plus !
Elles l’aspireront !
Vous allez dégager, et on reviendra dessus !
Quel cinéma !
N'importe quoi !
Ils étaient où, les socialistes !
Il serait tout bleu !
Au lieu de quoi vous faites voter de force un texte qui va à l'encontre du souhait des Français. Demandez donc au Président de la République de soumettre ce projet de loi à l'ensemble des Français.Nous sommes très attachés, pour ce qui nous concerne, à ce que les enfants aient un père et une mère et vous ne nous ferez pas dévier de cette position. Il est dommage que vous ne l'ayez pas compris ; les Français, eux, l'ont compris. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.)
Il serait bon, mesdames et messieurs de la majorité, que vous observiez un peu ce que pensent les électeurs. Vous êtes en train de commettre une grave erreur au moment où les Français attendent de vous que vous vous occupiez des problèmes importants à leurs yeux : le chômage, l'économie.
Et pourquoi ? Il suffit d'abord d'observer ce que pensent les Français. Nous sommes les représentants du peuple ; alors votons tous comme le peuple le souhaite. Le peuple n'est pas contre le mariage des homosexuels, ils se divisent en deux sur la question. En revanche, la grande majorité des Français est contre l'adoption par les couples homosexuels.
Nous aurions gagné beaucoup de temps si vous aviez écouté les élus de l'UMP qui vous réclamaient simplement un référendum.
Tout est contestable, monsieur le président, même la parole de la garde des sceaux !
Et les vôtres, d'arguments ?
C'est sûr, on n'a pas la même !
Il y a en certain nombre parmi vous qui ne vont pas voter de bon coeur !
Eh bien, je peux vous dire que sa scolarité sera très difficile. (Vives exclamations sur les bancs des groupes SRC, écologiste, GDR et RRDP.) Vous avez oublié ce qu'était la méchanceté des bambins à l'école.Institutionnaliser l'adoption par un couple de même sexe, c'est priver les enfants ou d'un père ou d'une mère. Vous prenez une très grande responsabilité et je n'aimerais pas être à votre place ! (Exclamations sur les bancs des groupes SRC, écologiste, GDR et RRDP.)
…quand un petit bout de chou de quatre ans dira : « Moi, j'ai pas de maman » ou « Moi, j'ai pas de papa », « J'ai deux papas », « J'ai deux mamans » ?
Vous savez ce qui va se passer dans les cours d'école,…
Si je vous disais que je n'ai rien contre le mariage des homosexuels, ça vous étonnerait, n'est-ce pas ? En fait, ce qui me choque dans votre loi, c'est que vous avez mélangé le mariage des personnes de même sexe et l'adoption. Moi, je suis très attaché à l'enfant. Que les couples fassent ce qu'ils veulent, c'est leur droit. Améliorer l'union civile aurait été une solution très simple. Figurez-vous que le grand-père que je suis apprécie que ses petits-enfants disent « papa », disent « maman ». (Exclamations sur les bancs des groupes SRC, écologiste, GDR et RRDP.) Eh oui, je sais, c'est très ringard d'avoir un papa et une maman. Pourtant, ça marche pas ...
Pas ceux d'en face!
Cela faisait beaucoup d'obscurs dans la rue!
Quel progrès ?
Mais non ! Décidément, vous n'avez rien compris !
C'est scandaleux !
On est bien loin de l'équité et de la justice promises par le Gouvernement.Ces mesures viennent s'ajouter à la sanction déjà prise à l'encontre des neuf millions de salariés issus des classes moyennes et modestes, auxquels la défiscalisation des heures supplémentaires permettait, en travaillant plus, de gagner jusqu'à 200 euros de plus par mois.Les réponses que votre budget prétend apporter à la crise sont donc inadaptées et dangereuses. Il existe pourtant des alternatives. Les chiffres en la matière sont éloquents : l'impôt sur les ménages ne rapporte aujourd'hui que 47 milliards d'euros à l'État, contre 90 milliards pour la CSG et 135 milliards pour la ...
Monsieur le Président, monsieur le ministre, monsieur le président de la commission, monsieur le rapporteur général, mes chers collègues, nous sommes tous d'accord sur le diagnostic : notre économie va mal. Elle est même dans une situation critique.Mais il est des remèdes qui sont parfois pires que le mal. Avec ce budget, les quelques ballons d'oxygène qui la soutenaient vont être réduits à néant.Pour relancer au plus vite la croissance, il faut évidemment poursuivre la réduction des déficits publics. Nous assumons notre bilan et partageons ce constat. Mais nous sommes profondément en désaccord, monsieur le ministre, quant aux moyens que vous entendez ...
Vous êtes encore en campagne électorale !
Ce ne sont pas des caricatures, c'est la vérité !
Et les baisses de charges ?
Bientôt plus !