Les amendements de Annie Genevard pour ce dossier
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L'amendement n° 906 également. (Les amendements identiques nos 562 et 906, repoussés par la commission et le Gouvernement, ne sont pas adoptés.)
Je propose d'ajouter à l'alinéa 86 consacré aux enseignements artistiques et culturels les mots : « et qui sera introduit dans les critères de leur évaluation ». Monsieur le ministre, je vous ai bien écouté tout à l'heure lorsque vous avez évoqué les difficultés à évaluer l'enseignement moral. Vous avez dit que, faute d'évaluation, les choses ...
Il est défendu. (Les amendements identiques nos 463, 564 et 908, repoussés par la commission et le Gouvernement, ne sont pas adoptés.)
L'amendement n° 687 également. (Les amendements identiques nos 584 et 687, repoussés par la commission et le Gouvernement, ne sont pas adoptés.)
Monsieur le président de la commission, vous nous relancez en affirmant que rien ne s'est passé en treize ans ! (« Très bien ! » sur les bancs du groupe UMP.) Je vous rappelle le plan interministériel de développement de l'éducation artistique et culturelle élaboré par Xavier Darcos, précédent ministre de l'éducation.
S'agissant de la notion de parcours, monsieur le ministre, j'étais hier au ministère de la culture où je représentais l'association des maires de France, pour donner une suite à la mission Desplechin dont vous avez sans doute entendu parler puisqu'elle portait sur l'éducation artistique et culturelle. La notion de parcours y a été évoquée, j'a...
Mais tout de même, monsieur le ministre, force est de constater que ces deux ministères ne travaillent guère ensemble. Si vous voulez véritablement mettre en place un parcours, il va falloir que les dispositifs respectifs s'harmonisent. Ce sera indispensable pour organiser ce parcours d'éducation artistique et culturelle sur le terrain et dans ...
Dans le droit fil de ce que vient de dire ma collègue, je pense que si on est dans le cadre d'une refondation de l'école, il faut se poser toutes les questions et ne s'interdire aucune piste de réflexion. Hier, monsieur le ministre, j'évoquais un article, paru lundi, sur l'école au Canada.
J'y reviens parce que la comparaison avec le système canadien est intéressante. Dans ce collège de la banlieue défavorisée de Toronto, les professeurs sont presque tous bivalents. Ils enseignent, par exemple, les mathématiques et la musique, ou les mathématiques et l'informatique, deux disciplines qui ne sont pas totalement étrangères l'une à l...
dans la réflexion sur la refondation de l'école. Permettez-moi donc de revenir sur la question des RASED. Je vous rappelle que pendant les questions-cribles, vous avez eu sans doute un moment d'abandon. (« Oh ! » sur les bancs du groupe SRC.)
À une question de notre collègue Marie-George Buffet, vous avez répondu : « J'ai demandé, car les résultats n'étaient pas aussi bons qu'on aurait pu le souhaiter, qu'une étude soit réalisée pour conforter les réseaux d'aides spécialisées aux élèves en difficulté ». J'insiste sur le terme « conforter ». Cela m'inspire deux remarques. D'abord, v...
Là, vous convenez que le système n'est pas aussi performant qu'il y paraît. Deuxièmement, monsieur le ministre, cela interroge tout de même, quand il faut conforter une structure qui est elle-même chargée de conforter les élèves en difficulté.
Le rapport c'est qu'il n'y a pas de sujet tabou et que, non seulement l'on peut mais l'on doit s'interroger par exemple sur la question de la bivalence et sur celle des RASED. (L'amendement n° 700 n'est pas adopté.)
Certes, je souscris à un certain nombre d'arguments qui viennent d'être exposés, par sympathie pour mes collègues alsaciens et parce que je connais la vitalité de la langue alsacienne
et de la langue bretonne : je ne doute pas que l'apprentissage de ces langues puisse être bénéfique pour les petits Alsaciens et les petits Bretons. Cependant, je vois aussi que dans les communautés d'origine étrangère, l'absence de maîtrise de la langue française par les parents
et la difficulté de maîtrise de cette langue par les enfants sont des facteurs qui empêchent le progrès. La maîtrise de la langue française est un prérequis indispensable de la réussite scolaire ultérieure.
Je ne vous cache pas mes doutes. Je ne peux pas affirmer que la réflexion exposée dans l'exposé sommaire de l'amendement de Mme Bechtel est totalement infondée.
Monsieur le ministre, je ne vous résume pas mon argumentation : vous l'avez entendue, n'est-ce pas ? Je vous prends en flagrant délit : il m'a semblé que vous n'écoutiez pas beaucoup ! (Sourires.)
Par cet amendement, je propose d'ajouter le mot « personnelles » après le mot « professionnelles ». Il n'existe pas de domaine professionnel où, lorsque l'on est confronté à une situation de recrutement, l'on ne s'interroge pas sur l'adéquation entre la personne et le poste proposé. Aussi, je propose que l'appréciation des qualités professionn...
Juste une chose, monsieur le ministre : si l'on met en place l'enseignement d'une langue étrangère dès le début de la scolarité obligatoire, il faut en évaluer très précisément les conséquences potentielles sur le déroulement de la scolarité des enfants.