Les amendements de Christian Jacob pour ce dossier

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Je veux bien entendu parler de l'autorisation de la PMA pour raisons de convenance personnelle. N'est-ce pas là le vice caché des ordonnances ? Il est choquant de vous entendre dire que la gestion pour autrui est interdite, tout en l'autorisant à l'étranger. Si l'on a 100 000 dollars, il n'y a pas de problème, on peut avoir recours à la GPA. D...

Si on a de l'argent, on peut. Mais on l'interdit ! Reconnaissez qu'il y a une certaine hypocrisie dans cette circulaire ! Le recours aux ordonnances n'a donc rien à voir avec l'urgence, la simplification ou des impératifs techniques. Il s'agit d'un enjeu politique : l'enjeu de la peur, de la fébrilité ! Vous essayez de faire passer en douce qu...

Vous disposez de temps de parole, prévu par notre règlement : vous pouvez en user à votre guise. Mais peut-être considérez-vous que ce débat est tellement médiocre

que vous n'avez pas envie d'y passer une demi-journée de plus ? Un tel raisonnement est indigne ! Assumez ! Pourquoi un tel manque de courage ? Pourquoi une telle peur ? une telle fébrilité ?

Vous en avez marre, madame Pompili ? Eh bien, levez-vous et prenez le micro ! Exprimez-vous ! C'est trop facile de vociférer, calée dans son siège ! Nous sommes au Parlement !

Certes, monsieur le président. Mais je ne fais que répondre aux invectives. Contesté et agressé, je réponds aux agressions ! (Sourires et exclamations sur les bancs des groupes SRC et écologiste.) Vous-même, monsieur le président, qui connaissez cette maison mieux que personne, savez qu'elle ne vibre jamais tant que lorsque s'y tiennent de vrai...

Êtes-vous à ce point écrasés par le poids de l'exécutif ? Mais on vous humilie, mes chers collègues ! Vous êtes humiliés ! Vous rentrerez ce week-end dans vos circonscriptions et croiserez les Français, à moins que là aussi vous ne vous enfermiez à double tour dans vos permanences de peur de les croiser ! Quelle image donnez-vous de vous-même ?...

Croyez-vous vraiment qu'adopter une telle attitude et être incapable de répondre soit digne de ce mandat ? Vous me direz que vous ne répondez pas afin de ne pas prolonger la séance. Qu'est-ce à dire ? N'êtes-vous pas capables de prendre dix minutes, un quart d'heure ou même une demi-heure pour exprimer vos convictions ? Ou bien décidément vous ...

Je souhaite faire un rappel au règlement sur la base de notre article 58, relatif à l'organisation de nos débats. Nos collaborateurs me font savoir qu'il reste moins de cinq heures de temps de parole pour le groupe UMP. Je voulais donc vous informer de la façon dont nous allons procéder dans la suite de nos débats, madame la présidente. Nous a...

Vous pouvez m'applaudir, cher collègue. Vos applaudissements seront inversement proportionnels à l'accueil que vous feront les Français lorsque vous rentrerez chez vous ce week-end !

J'aurais aimé que nous ayons ce débat et ne désespère pas de l'avoir, car j'imagine qu'il s'en trouve quand même quelques-uns parmi vous qui ont le courage politique d'assumer leurs responsabilités devant les Français et de porter un projet. Après tout, c'est bien pour cela qu'on fait de la politique. Mais cela suppose d'avoir la capacité de dé...

Le pouvoir législatif, c'est nous et nous devons assumer nos responsabilités. Nous décevrez-vous à ce point, mes chers collègues, en restant ainsi prostrés ? Vous ne faites vraiment pas honneur au mandat que vous ont confié les Français ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Madame la présidente, nous n'avons pas les liasses. Pourriez-vous décider d'autorité de faire une suspension de séance, le temps que l'on nous distribue les liasses ?

Monsieur le président, je vous ai bien entendu. Vous avez bien évidemment raison, il n'est pas question de chercher à se venger. Il y a simplement des comportements répétés qui conduisent, vous le savez, dès lors que l'on enchaîne les nuits les unes après les autres, et compte tenu de la fatigue, à des moments d'agacement. Il y a eu au cours de...

Nous ne pouvons pas poursuivre nos débats sans une explication. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Peut-être celle de la majorité sera-t-elle la bonne ! Mais nous avons déjà interrogé le ministre de l'intérieur en séance publique, et il n'a pas répondu. Il doit venir nous donner sa version des faits. Nous devons savoir avec précisi...

Pour le reste, dans le cadre de la procédure du temps programmé, il nous reste, si nous utilisons tout le temps qui nous est imparti, et nous le ferons, trois heures quarante-cinq de débats sans compter le temps des réponses du Gouvernement.

On voit vraiment que l'argent public n'est pas une préoccupation ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) À la demande du ministre chargé des relations avec le Parlement et du groupe socialiste, et sous votre autorité, monsieur le président, des séances ont été ouvertes jusqu'à samedi. Tout le monde a donc pu prendre ses dispositions pour...

Après ce qui vient de se passer, dans l'hémicycle et à l'extérieur, il n'est pas concevable (Interruptions sur les bancs du groupe SRC.)

Il n'est pas concevable de continuer jusqu'à six heures du matin dans ces conditions. Cela ne présente aucun intérêt, dans la mesure où nous avons prévu ensemble, sous l'autorité du président, de siéger jusqu'à samedi. Reprenons nos travaux demain matin, après la communication du ministre de l'intérieur.

Monsieur le président, cette décision ne peut pas être votre fait. Elle doit être prise à l'occasion d'une conférence des présidents ou d'un vote.