du loup dans les Alpes et ailleurs a été bien faite ; il n'y a plus de problème de sous-population de cet animal.
Les attaques de loups, qui se comptent par centaines, rendent l'élevage et le pastoralisme de plus en plus difficile à exercer.
Résultat : les alpages d'altitude sont désertés, rendus aux forêts et aux friches, ce qui pose un problème à la fois économique et environnemental.
Nous proposons d'adopter cet article en y effectuant une légère modification, afin de remplacer les mots « à l'éleveur concerné » par les mots « à chaque éleveur concerné ». Tel est l'objet de la proposition de rédaction n°15. M. François Brottes, député, vice-président.
- Cette précision est-elle indispensable ? L'inconvénient de cet article est qu'il ne renvoie qu'aux éleveurs.
Or ce sont des bergers, non l'éleveur en personne, qui gardent les troupeaux.
M. Germinal Peiro, député, rapporteur pour l'Assemblée nationale.
- Il y a quelques années, parler du loup...
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